Enfin, les deux dernières solutions de garanties, utilisées moins souvent que les trois premières, sont souvent demandées aux emprunteurs qui investissent dans un bien atypique, ou situé à l’étranger.
Il est alors possible d’apporter en garantie (de nantir) un fonds de commerce, des parts sociales ou encore un contrat d’assurance-vie. Mais attention dans ce cas, toute demande de rachat ou d’avance ne pourra être effectuée tant que le crédit n’est pas remboursé dans son intégralité. Sachez également que les établissement prêteurs préfèrent les contrats en euros, qui ne présentent pas de risques de variation du capital, à un contrat en unités de compte, qui sont en partie investies en actions.
Cependant, ils exigeront que le placement soit réalisé auprès de leur établissement. Enfin, la garantie déplacée peut, elle, s’effectuer en hypothéquant un bien que vous possédez déjà et sur lequel vous n’avez pas d’emprunt en cours. Le coût est alors celui d’une hypothèque.